Une bonne idée pour les fêtes de fin d'année : un bon cadeau pour un massage chez mes copines Delphine et Géraldine dont je vous avais parlé ici. Et puis, si vous leur rendez visite, n'hésitez pas à me laisser un petit mot pour donner votre avis.
Une bonne idée pour les fêtes de fin d'année : un bon cadeau pour un massage chez mes copines Delphine et Géraldine dont je vous avais parlé ici. Et puis, si vous leur rendez visite, n'hésitez pas à me laisser un petit mot pour donner votre avis.
Ce "Code des fards" est extrait d'un article publié dans Vogue en juillet 1934, illustré de superbes dessins. Ces conseils désuets ne sont pourtant pas si éloignés de la mode actuelle du maquillage, et pourront éventuellement vous inspirer pour une soirée dans le style années trente. A la suite de cet extrait, quelques publicités qui ont leur charme ...
"Ce n'est pas devant l'étalage du pâtisiier que les femmes, aujourd'hui, ouvrent des yeux gourmands, c'est devant les Instituts de Beauté, parfumeurs, coiffeurs, étalent leurs poudres et leurs fards. Ces bâtons de rouge aux teintes capiteuses, ces fards gras semblables à la chair des fruits exotiques, ces fards secs, évocateurs des grâces du pastel, ces mauves, verts, azurs argentés ou dorés qui font d'une paupière l'aile d'un papillon, ces poudres couleur de rose thé ... "On en mangerait, dit l'une qui est au régime et meurt de faim". "Je voudrais posséder tous ces fards, m'amuser chaque jour à des teintes nouvelles".
C'est bien là le danger d'une gamme si riche. C'est pourquoi le maquillage, pour la femme moderne est devenu un art, avec tout ce que ce mot comporte d'intuition,de subtilité, de contrainte aussi, chaque femme doit apprendre à choisir ce qui lui sied le mieux, parmi tant de nuances tentantes, et s'y limiter, mais non point s'enfermer dans une routine, la mode des fards varie comme celle des robes.
Le maquillage évolue, aujourd'hui, vers plus de discrétion. Les produits tâchent de se rapprocher le plus possible des coloris naturels du teint, des joues, des lèvres, des yeux, ils s'en rapprochent, et en même temps les rehaussent.
Posez-vous d'abord cette question : à quelle famille de peaux est-ce que j'appartiens ? Par son coloris, mon teint fait-il partie du groupe des blancs-roses ? Ou dois-je me classer dans l'ivoire et rouge-jaune ? La femme du premier type choisira un rose franc, un rouge qu'anime une pointe de bleu. Celle du second type a la gamme des ocres et rouge-mandarine.
Voici quelques indications qui vous permettront d'adopter le maquillage le plus seyant d'après votre teint, vos cheveux, vos yeux :
Pour les cheveux noirs et les yeux bleus.
Celle-ci est tout en charme. Ses cheveux sont de jais, ses yeux limpides et son teint clair, d'une qualité très délicate et fine. Il lui faudra choisir un maquillage tirant sur le rouge-violet et non pas sur le rouge-jaune. Elle appartient à la famille des blancs-roses, malgré la teinte de ses cheveux. Cest pourquoi le fond de teint est la base du choix des fards.
Le teint. Clair et mat.
Les joues. Un rouge tirant sur le violet de teinte moyenne et un fard sec.
Les lèvres. Rouge-violet, riche en couleur profonde qui devrait rejoindre la valeur du foncé des cheveux, le reste de la tonalité du visage devant rester doux et clair.
Les paupières et les cils. Un gras d'un joli mauve qui accentuera la teinte bleu-violet des yeux parce qu'il est combiné avec le bleu-noir des cils.
Une toute autre harmonie, un tout autre accent que la blonde et la rousse. L'accent est donné, chez elle, par le contraste entre la peau et les cheveux, ellle est, de toutes les femmes, celle qui supporte le mieux la presque totale absence de rouge sur les joues. Mais elle doit, dans ce cas, accentuer le maquillage des lèvres et des yeux.
La blonde au teint clair, yeux bleus.
Celle-ci est la belle rose de France épanouie. Tout doit être transparent, léger, lumineux, elle ne doit pas paraître plus fardée que les femmes peintes par Lawrence.
Le teint. Clair et mat.
Les joues. D'in rose-rose, qu'une romantique appellerait "palpitation".
Les lèvres. Rouge cerise.
Les paupières. Vert argenté pour les yeux gris-bleu, ou bleu pour les yeux bleus.
Pour la rousse aux yeux verts.
Elle est toute transparence et fraîcheur. Elle évoque ces fleurs à longue tige, aux pétales translucides et rosés, qu'on cueille au bord de l'eau. D'une chose naturellement rare, exquise, l'art aide à faire une beauté parfaite.
Le teint. Clair et transparent. Mettre un fond de teint rose très pâle mélangé à une crème nacrée. La poudre est rose.
Les joues. Le rouge est d'une teinte rose orangé. Après la poudre, renforcer l'éclat du teint en mettant sur les pommettes un rouge sec un peu plus jaune que le rouge gras. Il faut que le résultat soit un rose tirant sur le jaune semblable à celui de certaines roses safranées.
Les lèvres. Rouge mandarine ou rosé clair.
Les paupières. Poudre verte pailletée d'or. N'oubliez que la meilleure façon d'étendre l'ombre à paupières pour agrandir les yeux est de la mettre dans le coin extérieur en l'allongeant vers les tempes.
Les cils. Vert-noir.
Pour les cheveux châtains et les yeux marrons.
Celle-ci évoque une grappe dorée de raisin muscat.
Le teint. Fond de teint soleil, donné, soit par un ton bruni par le soleil, soit par des produits spéciaux. Parmi ceux-ci le liquide permet, en ajoutant plus ou moins de la lotion ordianire, d'obtenir le ton voulu. Il s'étend avec un peu d'ouate.
Les joues. Rose tirant légèrement sur le haune, mais si peu ...
Les lèvres. Rouge un peu jaune.
Les paupières. Un brun d'un ton chaud de pain grillé. Mettre un soupçon de bleu au coin de la paupière près de l'oeil pour éclaircir et donner un très léger accent clair.
Pour la blonde au teint doré.
La blonde au teint doré doit être capiteuse et tentante comme un abricot mûr qui brille entre les doigts. Cette comparaison vous choque-t-elle ? Trop de gourmandise, dites-vous ? Vous n'avez pas besoin de le dire à tout le monde, que ce soit un secret entre votre miroir et vous. Et, plaisez, coquette, comme par hasard.
Fond de teint. Gras. Choisissez une crème légère, adhérente, qui ne bouche pas les pores, tient à l'eau, à la chaleur, et ne déteint pas.
Poudre. Le même ton que le fond de teint, mais plus clair. Aux pommettes, une poudre de teint plus soutenue rehausse l'éclat du fard des joues et avive le teint.
Les joues. Fardées d'un rouge tirant sur le jaune. Employez plutôt un rouge gras pour ne pas avoir à en remettre.
Les lèvres. Le rouge à lèvres est du même ton que celui des joues en plus intense.
Les paupières et les cils. Yeux bleus, un gras bleu-gris, pailleté d'argent, et des cils bleu-noir. Si les yeux sont bruns, un brun chaud, cils noirs.
Quel que soit votre rouge habituel vous devez, lorsqu'un détail de votre toilette près de votre visage est rouge-jaune, y assortir vos lèvres et vos joues. Ayez donc toujours chez vous du rouge-jaune.
De même si vous aimez les ongles de teinte vive, le vernis doit être du même ton que le rouge de vos lèvres.
N'oubliez pas qu'une robe rouge sombre, violette, ou brune, fera pâlir votre maquillage, intensifiez-le en conséquence. Mais si vous êtes vêtue de rose, de vert pâle, vous semblerez avoir le teint plus vif que d'habitude, que vos joues soient donc à peine teintées.
Source texte et images : Vogue, juillet 1934 (gallica.bnf.fr, Bibliothèque nationale de France)
A l'instar des belles d'antan, essayeriez vous les sachets de toilette ? Vous ne trouverez plus ceux du fameux Dr Dys, mais vous en trouverez dans le commerce faits pour le bain, ou pourquoi ne pas les confectionner vous-même ?
La boutique en ligne Parashop propose quelques formules appétissantes, avec des sachets qui diffusent une poudre délicate et parfumée : musc et fleur de coton, ou bambou et thé vert :
Chez Simple Life, spécialistes de produits japonais, propose toute une gamme de sachets : à l'huile de lin, régénérant et nutritif, "cocon de soie" pour une peau éclatante, au cyprès du Japon, aux vertus relaxantes, ou même au saké, doux et sucré :
En pharmacie, on trouve les sachets Aveeno à l'avoine, qui hydrate et apaise les peaux sèches :
Vous pouvez aussi les confectionner vous même :
Procurez-vous des sachets de thé vide, et remplissez le de divers ingrédients en fonction de l'effet désiré, et du parfum que vous souhaiterez obtenir. Au moment de préparer votre bain, déposer le sachet dans la baignoire et laissez-le "infuser".
Les ingrédients peuvent être des fleurs : camomille (pour les peaux fragiles ou irritées), lavande (pour se relaxer).
Pour parfumer son bain : des épices (poudre ou écorce de cannelle, morceaux de gousses de vanille
Conseillée par Caly dans Top Santé, "Une tisane de bain pour adoucir et apaiser les peaux sèches :
Préparez un mélange avec 150g de flocons d'avoine, 150g de son de blé et 350g de lait en poudre. Versez-en 50g dans un sachet.
Sur le site de La Savonnerie Clandestine, quelques bonnes idées de recettes.
Le petit livre "La lavande, c'est malin" : une recette de bain cocoon, en remplissant des sachets en mousseline de lavande séchée. Les bienfaits de ce bain seront complétés en se frictionnant la peau avec le sachet.
Certaines boutiques vendent des sachets spécialement destinés à cet usage. Ainsi, LAPADD qui commercialise des sachets à infusion pour le bain :
En remontant plus loin dans le temps, on pourrait suivre les conseils donnés par le distillateur M. Dejean dans son "Traité des odeurs" en 1764 :
Sources :
La lavande, c'est malin, par Catherine Dupin et Danièle Festy, Leduc.s Editions, 2012
Traité des odeurs, suite du Traité de la distillation, par M. Déjean, 1764 (gallica.bnf.fr, Bibliothèque nationale de France)
Publicité sachets du Dr Dys, dans Les Modes, 1908 ( (gallica.bnf.fr, Bibliothèque nationale de France))
1896. L'inquiétude plane parmi la gent masculine. Mais que craignent-ils donc ?
Ils sont tout simplement effrayés par les idées étranges qu'ont certaines femmes, de plus en plus nombreuses : celles de vouloir être libres, de pouvoir décider par elles-mêmes ...
"La femme affranchie, la femme égale de l'homme ne l'aimera plus, disent-ils, et l'homme, de son côté, ne se sentira aucune tendresse réelle, profonde, pour cet être nouveau, pour cette new woman, sorte d'androgyne hautaine, forte de sa liberté, de ce qu'elle nommera sa dignité ; pour cette créature à forme de femme toujours, avec son sexe éternel, mais dépouillée de son antique grâce de faiblesse (magie du sourire qui provoque, implore, boude, du regard dardé sur l'oeil du mâle en muet appel magnétique ou voilé d'attirant émoi, crainte, pudeur, humide enfin de joie naïve aux premiers aveux troublants du désir désiré, espéré).
Ces messieurs continuent : - L'instruction de la femme, partout répandue peu à peu, s'élevant à la plus haute culture chez une élite de plus en plus nombreuse, les carrières jusqu'en ces derniers temps réservées au Masculin, ouvertes au Féminin qui déjà les entrouvre et qui s'apprête à s'y ruer pour une âpre concurrence, d'ailleurs pleine de menaces économiques ; la femme médecin, la femme avocat, la femme ingénieur, architecte, notaire, etc … Voyez-vous le pauvre Eros avec ses flèches parmi ce combat des sexes rivaux, ennemis pour l'argent, pour la clientèle, pour la célébrité, parmi ces diplômes, ces dossiers d'affaires, ces discussions techniques où l'homme, dans sa partenaire, aura l'illusion d'un autre homme devant lui, où la femme oubliera elle-même qu'elle est femme, ravie de ne plus le paraître ?"
Source :
L'avenir de l'amour, par Léopold Lacour. Article publié dans Gil Blas en octobre 1896
(gallica.bnf.fr Bibliothèque Nationale de France)
Images de Charles Dana Gibson
Eté 1938. Hermès
Eté 1933
Eté 1936
Eté 1935
Elizabeth Arden. Tout ce qu'il faut pour la plage y compris le maillot de bain, tient dans ce sac de toile imperméable : porte-monnaie, cigarettes, mouchoir, peigne, etc... et lunettes de soleil. Pour avoir l'air hâlé les premiers jours (ou pour les raccords de ton) le Vlva Film est une crème bronzée admirable. Pour brunir on emploiera l'idéal Sun Tan Oil, huile excellente. Si on craint le soleil on emportera une crème contre les brûlures. Pour se maquiller et se démaquiller rien ne manque, depuis les cleaning tissues jusqu'au rouge pour les joues "Sun Tan", tirant sur l'orange, les rouges à lèvres capucine ou chariot de couleur chaude, et enfin la poudre "Camée".
Source : Vogue (bnf.gallica.net)
Nous sommes toujours sur les plages des années 1930. Tout un éventail de tenues viennent compléter les nouveaux costumes de bain.
Au sortir de l'eau, on porte le classique peignoir ou une cape en éponge.
Ensuite, la tenue pour la plage ou pour la soirée est le plus souvent le "pyjama de plage" ou une "robe-pyjama", dont les poches accueillent accessoires de beauté, cigarettes et briquet.
Eté 1929. Costume de bain Au Grand Frédéric. Pyjama Irande. Pantalon et veste Schiaparelli.
Eté 1932. Peignoir et robe-pyjama Madeleine de Rauch.
En alternative du "pyjama", c'est un ensemble recouvrant le maillot. En haut : un manteau court, avec ou sans manches, qui peut être chic, de style tailleur, ou plus simple, à la coupe sortive.
Eté 1932. Manteau Hermès.
Eté 1933. Hermès. Maillot blanc à côtes plates formant une seule pièce avec la culotte.
Manteau trois-quarts en tissu de laine blanc, boutons de métal.
Pour le bas : une robe-maillot, jupe ou robe enroulée autour du corps, ou une "jupe-pyjama", sorte de jupe-culotte.
Eté 1932. Mainbocher : Sur le maillot, une jupe enroulée ample et un petit boléro ajusté, en toile blanche à pois rouges.
Eté 1932. Robe de plage jaunde d'or Jane Regny, s'enroule comme une jupe-portefeuille et se boutonne dans le dos. Jupe enroulée bleu-marineHélène Yrande, ceinture de cuir blanc.
Eté 1932. Hélène Yrande.
Eté 1932. Vera Borea.
Eté 1934. Heim. "Voici une idée toute nouvelle et des plus seyantes : le pagne pour la plage. Plus besoin, pour les femmes très féminines, d'avoir l'air d'un garçon manqué. Heim s'est heureusement inspiré des costumes des Iles du Pacifique pour ce pareo que l'on enroule autour des hanches. Il est complété d'un soutien-gorge fait également dans une toile blanche imprimée noir. Une cordelière brique le retient sur les épaules."
Source : Vogue. (gallica.bnf.fr, Bibliothèque nationale de France)
Eté 1936
Jusqu'au début du XXeme siècle, le costume de bain laissait peu entrevoir le corps des femmes, montrant à peine leurs jambes.
Anywhere along the coast - Gibson, vers 1900 (Life)
Puis, d'année en année, il se raccourcit pour s'adapter aux nouvelles pratiques de loisirs, suivant les tendances de la mode, dévoilant un corps mince et hâlé.
"Quand vous nagez, les règles du jeu doivent être appliquées : une silhouette mince, une peau tannée, un costume de jeune garçon" (Vogue, 1929)
Eté 1930
Plus court et plus moulant, le costume de bain s'inspire d'abord de celui des hommes. Celui-ci est constitué soit d'un ensemble « sweater-culotte » accompagné d'une ceinture, soit d'un maillot une pièce échancré dans le dos.
Eté 1929
Eté 1929. Costume de bain Jane Regny en jersey, avec culotte et jupe ajustée.
Costume Jantzen de chez Tunmer en jersey marine et blanc.
Costume blanc en tricot, monogramme et ceinture rouges de Paul Caret.
Eté 1929. Maillot Jane Regny en jersey marine et blanc.
Maillot Schiaparelli en jersey noir, jupe en forme par-dessus la culotte.
Eté 1929. Maillot Jean Patou en jersey noir.
A partir de ces bases, le maillot devient peu à peu plus féminin, se terminant en une petite jupe,ou s'agrémentant d'une ceinture décorative.
Eté 1929. Costume Lucien Lelong rouge et marine, ceinture, rayure et bonnets blancs.
Eté 1930
Eté 1930. Costume Jean d'Ahetze en jersey noir bordé de blanc, composé de deux pièces : la culotte courte se pose sur le maillot ouvert dans le dos jusqu'à la taille.Costume Jean d'Ahetze en jersey rouge foncé, pointillé de blanc pour le haut et uni pour la culotte, ceinture de caoutchouc blanc. Costume de Jane Régny en jersey noir garni de fines nervures, ceinture en toile cirée vert et blanc.
Eté 1930. En haut, costume de bain une pièce de Molyneux, en jersey beige incrusté de bandes de jersey blanc.
Au centre, un costume deux-pièces de Jean Patou en jersey noir, avec ceinture et monogramme beiges.
A droite, costume tricoté d'Hélène Yrande blanc et marine.
Eté 1930
Eté 1931. Lucien Lelong.
Eté 1931.Costume de bain Spalding en jersey bleu pâle une-pièce, avec une petite jupe fixée sur la culotte, ceinture de caoutchouc blanc qui marque la taille et simule l'effet d'un costume deux-pièces. Costume Fauvety exécuté au tricot, ceinture de toile.
Eté 1932. Maillots Emo (Mauchauffée)
Les premiers maillots sont en laine tricotée, qui reste longtemps la plus appréciée pour sa souplesse. Mais ce textile est peu adapté à l'eau salée qui rétrécit les lainages. Au début des années 1930, beaucoup sont en jersey épais, ne s'étirant qu'imperceptiblement, juste assez pour mouler étroitement le corps comme une seconde peau.
Eté 1932. Maillot Mauchauffée.Une ceinture marque la limite entre le haut blanc finement rayé vert clair et la culotte du même ton de vert.
Eté 1933
Eté 1934. Rosine Paris. Robe de plage Irmone. Maillot Irmone sans bretelles. Pour nager, une mince cordelière, dissimulée sous le maillot pendant le bain de soleil, se passe autour du cou.
Eté 1934. Le "Grisina-maillot" de bain. "En tissu élastique, s'adapte intimement au xorps qu'il silhouette et affine idéalement.
Eté 1934
Maillot de bain Mademoiselle X en dentellastex, été 1935
Eté 1935. Costume de bain Hermès, en laine bleue et blanche, porté avec une ceinture blanche ornée d'une boucle chromée.
Eté 1935
Eté 1935
Eté 1935
Eté 1935. Maillot de Maria Nowitzky en satin lastex bleu coupé d'une ceinture blanche. Maillot Dilkusha en Dentellastex pain brûlé, bordé de dentelle brune autour du décolleté. Dilkusha : jupe-tablier en coton noir posée sur un maillot en toile ton naturel, adouci d'une encolure drapée souple.
Eté 1935. Henry à la Pensée.
Eté 1936. Kestos.
Eté 1936
Eté 1936. Schiaparelli.
Eté 1938. Gloriane.
Eté 1938
Eté 1938. Marguerite Sacrez.
Eté 1939
Eté 1939. Gloriane.
Eté 1939
Eté 1939. Lord & Taylor.
Eté 1939. Maillot de bain Marcel Rochas en jersey bleu rayé de blanc. Maillot Jacques Heim en jersey noir, rehaussé de broderie blanche au point de croix le long des pinces verticales. Maillot Jacques Heim tricoté à la main, en laine noire, strié de lignes verticales rouges, se terminant en broderies sur les seins.
Source : Vogue (gallica.bnf.fr, Bibliothèque nationale de France)